Como decíamos en este post, France Culture ha publicado los secretos de las grabaciones de campo en esta página. Seguiremos a la escucha…
Ethnographie sonore ? audionaturalisme ? phono-paysagisme ? jeux avec appeaux ? Entre captation d’environnements sonores et compositions d’enregistrements du monde, les limites du «field-recording» ne sont pas toujours claires. Au lieu de faire la part des choses et parce qu’on n’aime pas forcément faire le tri, on a fait des tests. D’un côté, il y a des étudiants de l’ENS-Louis Lumière qui se demandent s’il y a un rapport avec la musique à programme, s’il y a un sens caché dans ces enregistrements et s’il faut se méfier de ne pas en avoir peur. D’un autre côté, il y a les cobayes, ceux qui répondent et qui font seulement des descriptions quand il n’y a pas toujours de raison. Et comme on n’aime vraiment pas faire le tri, il n’y avait pas de raison d’exclure la musique figurative du sujet. C’est pourquoi, en allant de Vivaldi à Beethoven, on passe aussi par des brames de cerfs et un radiateur virtuose.
Extrait d’une conférence de Roger Pradalié pour le Centre d’études radiophoniques enregistrée en 1950.
Avec la participation du philosophie Julien Labia, du chercheur en amusie Thibault Walter, des étudiants de l’ENS-Louis Lumière et de volontaires du Relais d’information sur les sciences de la cognition
Cet atelier a été réalisé avec l’ENS-Louis Lumière à l’occasion du colloque «Bruits».
Remerciements à Gérard Pelé, Hélène Singer et Eric Urbain.
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