« Petite Machine ! Mais dites-moi, qui est donc l’horloger fou, qui ajusta les vis et les boulons de cette machine d’amour ? », demandait Teófilo Ibañez dans le tango « Maquinita ». La Mère Machine, conçue dans un petit atelier de la périphérie de Buenos Aires, était alors sur toutes les lèvres et dans bien des foyers argentins. Méprisé par les hommes de science de son temps, peu à peu oublié, son créateur, Tulio Tosco (1902-1963), mérite pourtant une place particulière dans l’histoire des inventeurs. Les archives constituées par ses enfants après sa mort permettent enfin de révéler toute l’originalité de l’œuvre de « l’horloger fou », qu’on ne saurait réduire à une simple curiosité du XXe siècle.
« Maquinita ! Pero decime quién fué el relojero loco, que ajustó los tornillos y bulones de esta máquina de amor ? », preguntaba Teófilo Ibañez en el tango « Maquinita ». La Madre Máquina, fabricada en un pequeño taller de los suburbios de Buenos Aires, estaba en boca de todos y en no pocos hogares argentinos. Despreciado por los científicos de la época, poco a poco olvidado, su creador, Tulio Tosco (1902-1963), merece sin embargo un lugar de importancia en la historia de los inventores. Los archivos constituidos por sus hijos luego de su muerte permiten revelar hoy toda la originalidad de la obra del « relojero loco », que no se puede reducir a una simple curiosidad del siglo XX.
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